Bibliographie inédite des publications françaises sur Nietzsche 1868-1940 (Laure Verbaere et Donato Longo)
1868-1910: BIBLIOGRAPHIE ET COMMENTAIRES DE LAURE VERBAERE
[1] Cf. Dr. Max Zerbst, Nein und Ja! Antwort aud Dr. Hermann Türck's Broschüre Friedrich Nietzsche und seine philosophischen Irrwege, Leipzig, C. G. Naumann, 1892 [Krummel, I, 137, p. 110].
[2] Cf. Karl Adolf Brodtberck, Geistesblitze grosser Männer. Für freie Denker gesammelt, Leipzig, C. G. Naumann, 1889 [Krummel, I, Z/A, p. 77].
[3] Il s'agit d'un compte-rendu de l'ouvrage publié à la fin de l'année 1893 : cf. Ludwig Stein, Friedrich Nietzsche's Weltanschaunung und ihre Gefahren. Ein kritischer Essay, G. Reimer, Berlin, 1893 [Krummel, I, 155a, p. 118].
Les comptes rendus publiés dans le supplément de la Revue de métaphysique et de morale sont toujours anonymes.
[4] Article qui fait suite à la parution du livre de Georg Brandes, Menschen und Werken : il s'agit du premier volume publié à Francfort en 1894. Il comprend une longue étude de Nietzsche ainsi que les douze lettres de Nietzsche à Georg Brandes.
[5] Il est loin de soupçonner qu'Elisabeth Förster, à la fin de l'année 1888 regrettait que son frère n'ait trouvé, pour asseoir sa célébrité, que de la "racaille", des "Juifs qui ont mangé à tous les râteliers" ; qu'elle reconnaissait que Brandes saurait le "mettre à la mode" mais lui conseillait d'éviter de le "rencontrer personnellement" et lui recommandait de ne pas se laisser "approcher de trop près" ; cf. la lettre de Nietzsche à Franz Overbeck ; citée d'après OPC, op. cit., tome XIV, p. 416. Cf. la lettre d'Elisabeth Förster du 6 septembre 1888.
[6] Max Nordau est le pseudonyme de Max Südfeld (1849-1923). Traduction de Entartung, Berlin, Duncker, 1892/1893 [Krummel, I, 159, p. 120-121].
[7] Compte-rendu d'un article d'Elisabeth Förster-Nietzsche dans le Magazin für Litteratur du 30 décembre 1893, p. 188.
[8] Cf. Lou Andreas-Salomé, Friedrich Nietzsche in seinen Werken, Wien C. Konegen, 1894 [Krummel, I, 185, p. 131-132].
[9] Paul Lansky, "Friedrich Nietzsche. Nach persönlichem Umgange", in Sphinx, tome 18, n˚99, mai 1894, p. 333-340 [Krummel, I, 181, p. 130-131].
[10] Cf. Théophile Droz "Über Friedrich Nietzsche", in Züricher Post, tome 22, n˚263, 9 novembre 1900 [Krummel, I, 549, p. 267].
[11] Le passage cité est un extrait du chapitre cinq, cf. OPC, p. 29-30. Brunetière ne se sert pas de la traduction française proposée par Daniel Halévy et Robert Dreyfus en 1892 (cf. p. 126-127). Il traduit lui-même à partir de l'allemand, correctement mais pas tout à fait intégralement.