Bibliographie inédite des publications françaises sur Nietzsche 1868-1940 (Laure Verbaere et Donato Longo)
1868-1910: BIBLIOGRAPHIE ET COMMENTAIRES DE LAURE VERBAERE
[1] L'étude de Paul Ernst correspond au premier cahier. Cf. Dr. Paul Ernst, Friedrich Nietzsche, Gose & Tetzlaff., 1900 [Krummel, I, 542, p. 265]
Paul Ernst (1866-1933), écrivain.
[2] Cf. Henri Lichtenberger, "Der Individualismus Nietzsches", Dt. von Fr. v. Oppeln-Bronikowski, in Deutsche Zeitschrift, 15. Jg., 1902, p. 372-380 [Krummel, II, 198, p. 83]
[3] Cf. Karl Lamprecht, Zur jüngsten deutschen Vergangenheit. 1. Bd. : Tonkunst, Bildende Kunst, Dichtung, Weltanschauung, R. Gaertner, Berlin, 1902 [Krummel, II, 135, p. 54].
[4] Cf. Josef Hofmiller, "Nietzsches Testament", in Die Gesellschaft, 18. Jg., H. 9, Bd. 2, 1902, p. 5-15 [Krummel, II, 178, p. 74]. Cf. aussi Krummel, II, 178a, p. 74.
[5] Heidelberg, Winter, 1901.
[6] Leipzig, Haessel, 1899-1901, 4 volumes.
[7] Cette référence est citée d'après Longo, p. 23.
[8] Cette référence est citée d'après Longo, p. 28.
[9] Dr Heinrich Gomperz, Ueber den Begriff des sittlichen Ideals, Berne, Schmid et Francke, 1902. Max Wentscher, Ethik, Leipzig, Barth, 1902. H. Gomperz est membre de l'Académie impériale de Vienne et correspondant de l'Institut de France.
[10] Cette référence est citée d'après Longo, p. 18.
[11] Cette référence est citée d'après Longo, p. 21.
[12] Les références suivantes contiennent au moins une allusion à Nietzsche. Parmi les personnes du groupe I, vingt-deux n'ont pas mentionné Nietzsche : Victor Brérard, Alfred Binet, G. Brandès, Eugène Demolder, Louis Dimier, A. Espinas (professeur à la Sorbonne), A. Fouillée (de l'Institut), Jules Lemaître (de l'Académie Française), Cesar Lombroso (professeur à l'Université de Turin), Maurice Maindron, M. Masson-Forestier, Dr. Mardrus, Jean Moréas, Charles Morice (professeur à l'Université Nouvelle de Bruxelles), Max Nordau, Joséphin Péladan, Pierre Ponnelle (ancien professeur de l'Université de Wiborg), Ch. Renouvier (de l'Institut), Albert Réville (professeur d'histoire au Collège de France), G. Sergi (professeur à l'Université de Rome), E. Melchior de Vogüé (de l'Académie Française)
[13] Cette allusion à Nietzsche est la seule trace écrite d'intérêt pour Nietzsche au début du siècle.
[14] Né en 1868, Léon Daudet a fait des études médicales avant de se tourner vers les lettres. Journaliste au Figaro, au Gaulois, au Soleil, à la Libre Parole où il a secondé Drumont dans sa campagne antisémite. En 1897, il est devenu membre de l'Académie Goncourt. Il adhère au nationalisme intégral de Charles Maurras et participe avec à la fondation de l'Action française quotidienne en 1907. Il est l'auteur de plus de soixante-dix volumes d'oeuvres diverses.
[15] Saint-Georges de Bouhélier est le pseudonyme de Stéphane Georges de Bouhélier Lepelletier, né en 1876. Il est l'auteur d'essais, de recueils de poèmes et de nombreux drames. Il est le fondateur du naturisme.
[16] Cf. Fritz Mauthner, Beiträge zu einer Kritik der Sprache. 1. Bd. Sprache und Psychologie, Cotta Nr. St., 1901 [Krummel, II, 104, p. 39]. Cf. aussi Krummel, II, 104a, p. 40.
[17] Cette référence est citée d'après Longo, p. 18.
[18] Cf. Adolf Bartels, Geschichte der deutschen Litteratur. 2. Bd. : Das neunzehnte Jahrhundert, Ed. Avenarius, Leipzig, 1902 [Krummel, II, 189, p. 79]. Cf. aussi Krummel, II, 189a à 189i, p. 79-80.
[19] Cf. Dr. Hans Vaihinger, Nietzsche als Philosoph, Reuther und Reichard, Berlin, 1902 [Krummel, II, 183, p. 75]. Cf. aussi Krummel, II, 183a, 183b et 183c, p. 75-76. Une version française a paru dans la Bibliothèque du Congrès international de philosophie, tome IV, p. 473 ss.
Hans Vaihinger est professeur à l'Université de Halle.
[20] 3 volumes, Berlin und Leipzig, Schuster u. Loeffer, 1901-1902.
[21] Jean Pérès est agrégé de philosophie et docteur ès lettres.