Bibliographie inédite des publications françaises sur Nietzsche 1868-1940 (Laure Verbaere et Donato Longo)
1868-1910: BIBLIOGRAPHIE ET COMMENTAIRES DE LAURE VERBAERE
CHANTAVOINE Henri, "Les maîtres de la pensée contemporaine", in La Grande Revue, 15 janvier 1904, p. 5-16.
Compte-rendu du livre de Jean Bourdeau du même titre. Sur le chapitre sur Nietzsche (p. 6-8).
BATAULT Georges, « L'hypothèse du retour éternel devant la science moderne », in Revue philosophique de la France et de l'étranger, tome 57, n˚2, février 1904, p. 158-167.
Analyse l'idée de retour éternel selon Nietzsche.
MORHARDT Paul-Emile, "La folie de Nietzsche", in Le Petit Temps, 6 février 1904.
GAULTIER Jules de, « Schopenhauer et Nietzsche », in Revue des idées, volume 1, n˚2, 15 février 1904, p. 135-144.
Anonyme, "Les maladies des littérateurs: le début de la maladie de Nietzsche", {Médecine et littérature}, in Gazette médicale de Paris, série 13, n°4, 1904, p. 90.
Passe en revue les études du Dr Michaut (1903) et du Dr Möbius ainsi que l'article de Paul-Emile Morhardt dans le Temps.
Anonyme, « Frédéric Nietzsche et la Civilisation européenne », {Echos}, in Mercure de France, tome 49, n˚171, mars 1904, p. 857.
Annonce d'une conférence qu'Henri Albert doit prononcer à ce sujet le 22 mars.
GOURMONT Jean de, {Littérature}, in Mercure de France tome 49, n˚171, mars 1904, p. 748-755.
Bref extrait et court commentaire au sujet d'Henri Albert, Frédéric Nietzsche, publié dans la Bibliothèque Internationale d'édition (p. 753).
OSSIP-LOURIE, « Voprossi philosophii i psychologuii », {Revue des périodiques étrangers}, in Revue Philosophique de la France et de l'étranger, tome 57, n˚3, mars 1904, p. 332-334.
Compte-rendu d'un article de E. Troubetskoï, « La philosophie de Nietzsche. » (p. 333) [1]
GAULTIER Jules de, « Schopenhauer et Nietzsche », in Revue des idées, volume 1, n˚3, 15 mars 1904, p. 200-212.
Suite et fin.
MURET Maurice, « Nietzsche en France », {Variétés}, in Journal des débats, n°85, 26 mars 1904, p. 2-3.
WEBER Louis, « Frédéric Nietzsche : Par delà le Bien et le Mal », {Philosophie}, in Mercure de France, tome 50, n˚172, avril 1904, p. 201-202.
Anonyme, « Stirner et Nietzsche », in Revue de métaphysique et de morale, tome 12, supplément n˚3, mai 1904, p. 23-24.
Exposé de la thèse d'Albert Lévy et compte-rendu de la soutenance.
R., J.-E., {Variétés}, in Journal de Genève, 8 mai 1904, p. 2.
Compte-rendu d'Edouard Schuré, Précurseurs et révoltés.
GRESY, "Frédéric Nietzsche", in Stamboul, 12 mai 1904, p. 2.
A propos d'une conférence du Comte Léon Ostrorog (1867-1932) sur Nietzsche à la Société littéraire et scientifique de Constantinople, le 23 avril 1904.
La conférence est déjà signalée dans Stamboul le 25 avril 1904.
Elle est à nouveau signalée et commentée dans "Nietzsche et le nietzschéisme", dans le Stamboul du 26 juin 1905.
TAVERNIER Eugène, "Les maîtres de la pensée contemporaine", in L'Univers, 18 mai 1904, p. 1.
Compte-rendu de l'ouvrage publié sous ce titre par Jean Bourdeau.
A propos du chapitre sur Nietzsche, note: "En France, le public qui a quelque notion de Frédéric Nietzsche est très restreint. Heureusement ! Si ce prophète, tombé dans la folie vulgaire après s'être livré au dévergondage intellectuel, si le prophète du moi insolent et cynique pouvait nous laisser tranquilles, ce serait autant de gagné. N'avons-nous pas assez d'énergumènes chez nous! (...) M. Bourdeau, qui connaît fort bien la philosophie et la littérature allemandes (son petit volume sur Schopenhauer est un bijou), M. Bourdeau a eu le courage d'analyser l'œuvre nietzschéenne, appelée par lui exactement « le néo-cynisme aristocratique ». Il nous en donne une idée saisissante. On a le spectacle de l'orgueil humain haletant et frénétique".
LAPAUZE Henry, {Carnet du liseur}, in Le Gaulois, 24 mai 1904, p. 4.
Compte-rendu d'Emile Faguet, En lisant Nietzsche.
Commence: "Il faut savoir le plus grand gré à M. Emile Faguet d'avoir contrôlé à la pierre de touche de son esprit si net et si français tout le clinquant superbe de Nietzsche. Il en dégage, pour nous le présenter, la petite quantité d'or pur et solide qui s'y trouve. Et certes le philosophe allemand sort moins diminué de cette épreuve que des admirations compromettantes dont l'encens doit faire frémir ses mânes.
En effet, la fortune philosophique de Nietzsche – du moins en France – est bien bizarre.. Ce penseur, si follement épris de l'héroïque, du surhumain, si fièrement dédaigneux du médiocre, si cruellement méprisant pour les demi-intellectuels, parmi lesquels il classe toutes les femmes, se voit prôné chez nous, non pas par les cerveaux vigoureux et les êtres capables de fortes actions, qu'il voulait pour ses seuls disciples, mais par les décadents, les déliquescents, les snobs et – ô succès paradoxal! – par des femmes.
La faute en est, au reste, bien à lui, et Nietzsche n'a que ce qu'il mérite."
HERMANT Abel, « Le Nietzsche des salons », in Le Figaro, n˚150, 29 mai 1904, p. 1. [2]
Anonyme, « En lisant Nietzsche », {Au jour le jour], in Journal des Débats, n°150, 30 mai 1904, p. 1.
Anonyme, "Nietzsche et Faguet", in L'Aurore, n°2416, 31 mai 1904, p. 1.
"Perle" du Chanoine dans le Journal des Débats au sujet du livre d'Emile Faguet, En lisant Nietzsche.
ROUANET Gustave, « Précurseurs et révoltés, par Edouard Schuré », in La Revue socialiste, tome 38, janvier-juin 1904, p. 763. [3]
Classe Nietzsche parmi les Gobineau, les Shelley et les Ibsen, tous ceux qui ont été des rêveurs prophétiques, et qui, pressentant le cataclysme européen, ont cherché la lumière lointaine dans l'avenir.
SEGOND J., « Quelques publications récentes sur la morale », {Revue générale}, in Revue Philosophique de la France et de l'étranger, tome 57, n˚6, juin 1904, p. 626-654.
Compte-rendu de Wilhelm Wundt, Ethik (p. 648-653). Segond examine la conception de Nietzsche de Wundt (p. 651) et remarque que Wundt n'est « pas infiniment éloigné, en un sens, de l'Ethique du Surhomme, de la morale des maîtres. » (p. 653) [4]
NASS Dr. Lucien, {Chronique bibliographique}, in Chronique médicale, n°11, juin 1904, p. 765-767.
Compte-rendu d'Emile Faguet, En lisant Nietzsche.
LICHTENBERGER Henri, « R. Oehler. - Friedrich Nietzsche und die Vorsokratiker », {Littérature allemande}, in Revue universitaire, tome II, n˚6, 15 juin 1904, p. 60-61. [5]
Anonyme, "Société de sociologie. Séance du mercredi 8 juin 1904", in Revue internationale de sociologie, tome 12, n°7, juillet 1904, p. 527-553.
Compte-rendu de la conférence de Marcel Pournin sur Nietzsche (p. 538-543). L'ordre du jour de la Société de sociologie de Paris est "Sociologie et morale".
Anonyme, « Les maîtres de la pensée contemporaine, par Jean Bourdeau », in Revue de métaphysique et de morale, tome XII, supplément n˚4, juillet 1904, p. 9.
Remarque isolée concernant les passages du livre de Jean Bourdeau consacrés à Nietzsche : « Il est peut-être étrange de qualifier la doctrine de Nietzsche de « néocynisme », même en ajoutant « aristocratique ». »
APOLLINAIRE Guillaume, {Notes du mois}, in Le festin d'Esope, juillet 1904, p. 137.
Brève analyse d'Oscar Ewald, Nietzsches Lehre in ihren Grundbegriffen, dans lequel Ewald « démontre que les deux conceptions de Nietzsche : Le surhumain et le retour éternel doivent être interprétées symboliquement et n'ont rien de scientifique. » [6]
MONTFORT Eugène de, « Un journal anti-snob », {Revue}, in Les Marges, volume 1, juillet 1904, p. 152. [7]
Commente ironiquement Abel Hermant, « Le Nietzsche des salons », publié dans le Figaro.
RAMUZ Charles Ferdinand, "La maison de Nietzsche", in Semaine littéraire, 9 juillet 1904.
Référence citée d'après l'annonce publiée dans le Journal de Genève du 14 juillet 1904.
L'article paraît dans La Semaine littéraire, n°549, 9 juillet 1904, p. 325-328 d'après Florence Bays, “La réception de Nietzsche par un milieu anticonformiste romand dans les années trente”, in Études de lettres, n°3, 2007, p. 147-171.
FORGET J., {Bulletin théologique}, in La science catholique, t. 18, n°8, 15 juillet 1904, p. 742-760.
Compte-rendu de Conférences pour le temps présent (1903) dont celle de L. Maisonneuve sur l'immoralisme de Nietzsche (p. 746).
DAURIAC Lionel, « Nietzsche (Fr.). - La Volonté de puissance », {Revue bibliographique}, in L'Année philosophique, tome 13, 1904, p. 233.
Salue la publication de « cet admirable livre » de Nietzsche, « la plus vigoureuse et plus riche de toutes ses œuvres » et insiste : « C'est l’œuvre d'un penseur et d'un philosophe ». Ne reconnaît l' « immoralisme » de Nietzsche que du point de vue social car Nietzsche est « tout le contraire d'un épicurien ou d'un hédoniste » et surtout « il est assez le contraire d'un pessimiste. » Conclut sur le sort de Nietzsche en France : « Il y a beaucoup de Nietzsche chez Corneille. De là vient qu'après lui avoir rendu hommage, on songe à lui rendre justice : il en était temps. » (p. 233)
LAFITTE Jean-Paul, « Nietzsche et l’Université française », in Le Beffroi, Année 5, n°41-50, 1904, p. 183-192.
SECRETAN Henri, "Nietzsche", in Gazette de Lausanne, jeudi 4 août 1904, p. 1.
Commente le livre d'Emile Faguet, En lisant Nietzsche.
VORNEY Grouchy de, "La surfemme", in Le XIXe siècle, n°12572, 12 août 1904, p. 1.
FAGUET Emile, {La semaine dramatique}, in Journal des débats politiques et littéraires, 15 août 1904, p. 1-2.
Analyse de la pièce de Camille Mauclair, Le génie est un crime (La Grande Revue)
Pièce non jouée, d'inspiration très nietzschéenne.
Anonyme, « Etudes sur la philosophie morale au XIXe siècle », in Revue de métaphysique et de morale, tome 12, supplément n˚6, septembre 1904, p. 4.
Compte-rendu des neuf études réunies dans l'ouvrage, dont celle d'Henri Lichtenberger sur la morale de Nietzsche.
Anonyme, « Stirner et Nietzsche, par Albert Lévy », in Revue de métaphysique et de morale, tome 12, supplément n˚6, septembre 1904, p. 6.
Compte-rendu de la thèse publiée d'Albert Lévy.
CLEMENT François, « Un document contemporain sur l'inconscient dans l'imagination créatrice », in Revue philosophique, tome 58, n˚9, septembre 1904, p. 280-284.
A propos de Nietzsche, Also sprach Zarathustra.
DAIREAUX Marie. -J., « La Sur-action », in Revue Philosophique de la France et de l'étranger, tome 58, n˚9, septembre 1904, p. 270-279.
Constate qu' « à certaines heures de transition morale il arrive qu'un acte violent ou « choc anormal » semble s'imposer à certains individus » (p. 270) ; assimile cet acte à un « sursaut » et remarque : « Dans l'évolution sociale, l'on rencontre de tels faits produits dans des conditions analogues. - Une tentative de faire du nouveau, dit Nietzsche, et il cite : Napoléon, la Révolution. » (p. 273)
GAULTIER Jules de, « Nietzsche et la pensée française », in Mercure de France, tome 51, n˚177, septembre 1904, p. 577-602.
GAULTIER Jules de, « Nietzsche et la croyance idéologique », in Revue des Idées, volume 1, n˚9, 15 septembre 1904, p. 677-694.
Anonyme, {Revue des revues}, in Les Essais, n°7, vol. 2, octobre 1904, p. 58-60.
A propos de l'article de Jules de Gaultier dans le Mercure de France de septembre.
Note: "L'admiration que professe pour la philosophie nietzschéenne M. JULES DE GAULTIER, nous étonne un peu. Nietzsche, continuateur de Montaigne, de Voltaire, de Chamfort, n'est pas pour cela, ne sera jamais un grand philosophe. Il est analytique et lyrique, comme le dit fort justement M. Jules de Gaultier, il l'est avec une sorte de génie d'expression que nous sommes les premiers à goûter énormément. Mais, par là même, par son œuvre sans cohésion, sans originalité de pensée, exclusivement aphoristique et critique, il n'exercera jamais l'influence qu'il souhaitait, il ne créera jamais de mœurs — ce dont il faut nous réjouir ! Ses œuvres demeureront à notre chevet parce qu'aisément accessibles, pourvues d'un attrait spécial, saturées d'art et de poésie — et nous les reprendrons fréquemment comme telles. Quant à l'Esquisse d'une morale, de Guyau, elle est empreinte d'un charme différent, mais analogue : la lecture en est un plaisir délicat, quelques pages en sont belles et nombre d'images exquises ou puissantes. Seulement, encore une fois, tout cela, c'est de la critique, de l'analyse et, à ce compte-là, nous ne voyons pas pourquoi M. Anatole France ne prendrait pas place aux côtés de Pythagore... Non! Il n'y a pas de grand philosophe qui n'ait été dogmatique, odieusement dogmatique. Kant fut peut-être bien une momie à systèmes, il n'en demeure pas moins plus solidement posé devant l'histoire que le grand philosophe que nous propose M. Jules de Gaultier. Que ce dernier, d'ailleurs, se rassure. Nietzsche continuera d'être très lu, étant séduisant au possible pour les dégénérés et les snobs contemporains. Qu'on se contente donc simplement de nous le donner pour ce qu'il est, un artiste idéaliste doué d'une rare virulence verbale, un poète turbulent et troublant, un aristocrate nébuleux et exalté dont le cri d'énergumène, léonin et solitaire. s'éteindra heureusement sans écho valable" (p. 59).
LASSERRE Pierre, « Emile Faguet. - En lisant Nietzsche », {IV. - Histoire de la philosophie}, in Revue Philosophique de la France et de l'étranger, tome 58, n˚10, octobre 1904, p. 422-424.
A propos du livre d'Emile Faguet. Estime: "Il est un peu étrange d'encourager frénétiquement à la sérénité et anarchiquement à l'ordre, de parler, conservateur, comme un insurgé. Aussi Nietzsche a-t-il deux publics l'un très restreint et tout à fait d'élite qui entend la « chanson », la bonne chanson; l'autre hélas! nombreux, public d' «esthètes », de névrosées, dit-on, de «méconnus » assurément, qui se repaît uniquement du «ton» et de l'attitude, et où chacun se croit le Surhomme."
LEPIEUX Antonin, {Les livres}, in Revue du Midi, n°10, octobre 1904, p. 294-301.
Compte-rendu d’Emile Faguet, En lisant Nietzsche (p. 294-295)
Note : "Nietzsche est le meneur de loups d'aujourd'hui. C'est aux sons de sa flûte ensorceleuse que s'achemine, vers où ? la longue file des jeunes hommes. Il aura eu sur nous une autre influence que Ruskin, Ibsen et Tolstoï." (p. 294)
OSSIP-LOURIE, « Voprossi philosophii i psychologuii », {Revue des périodiques étrangers}, in Revue Philosophique de la France et de l'étranger, tome 58, n˚10, octobre 1904, p. 437-439.
Compte-rendu de la fin d'un article de Troubetskoï intitulé « La philosophie de Nietzsche. » (p. 439)
MONTESQUIOU M. de, « Pèlerinage passionné », in Le Gaulois, 14 octobre 1904. [8]
Anecdotes de la vie de Nietzsche dans la pension de Sils-Maria, sur la base du récit du privatier.
MORHARDT Paul-Emile, "La folie de Nietzsche", in La Chronique médicale, n°20, 15 octobre 1904, p. 343-349.
Extrait de l’article paru sous le même titre dans Le Petit Temps en février 1904.
Anonyme, {Nouvelles diverses}, in Le Ménestrel, n°44, 30 octobre 1904, p. 349-350.
Raconte la commémoration à Weimar du soixante-quinzième anniversaire de la naissance de Nietzsche.
BURY Robert de, « Nietzsche à Sils-Maria (Le Gaulois, 14 octobre) », {Les journaux}, in Mercure de France, tome 52, n˚179, novembre 1904, p. 489-491.
Compte-rendu de M. de Montesquiou, « Pèlerinage passionné ».
BERNEDE Arthur, "Les femmes qui fument. Une leçon de philosophie", in La Caricature, t. 25, n°1297, 5 novembre 1904, p. 354-359.
Met en scène le "professeur Tristch", célèbre philosophe allemand: caricature de Nietzsche.
MURET Maurice, "Nietzsche, la France et les Français", in Journal des Débats, n°314, 11 novembre 1904, p. 2-3.
STEINILBER Emile, ??, in Annales de la jeunesse laïque.
Tente de montrer que Nietzsche est républicain, voire même socialiste. D'après le compte-rendu publié dans L'Aurore du 31 novembre 1904, p. 1.
Anonyme, "Zarathoustra Républicain", in L'Aurore, 31 novembre 1904, p. 1.
Compte-rendu d'un article d'Emile Steinilber sur Nietzsche publié dans les Annales de la jeunesse laïque. Doute de la démonstration.
RAYMOND F., "Les maîtres de la pensée contemporaine, par Jean Bourdeau", {Bibliographie}, in Etudes fransiscaines, t. 12, juillet-décembre 1904, p. 326-327.
Compte-rendu du livre de Jean Bourdeau.
BJERRE Paul, « La folie géniale », in Mercure de France tome 52, n˚180, décembre 1904, p. 561-598.
Article traduit du suédois. Dédicacé « A la mémoire de Nietzsche », il étudie le cas de Nietzsche.
LANSON Gustave, « Emile Faguet. - En lisant Nietzsche », {Littérature française}, in Revue universitaire, tome II, n˚10, 15 décembre 1904, p. 420.
LICHTENBERGER Henri, « Elisabeth Foerster-Nietzsche. - Das Leben Friedrich Nietzsches, II, 2. - Friedrich Nietzsches gesammelte Briefe, III, 1 », {Littérature allemande}, in Revue universitaire, tome II, n˚10, 15 décembre 1904, p. 429. [9]
LICHTENBERGER Henri, « E. Faguet. - En lisant Nietzsche », {Littérature allemande}, in Revue universitaire, tome II, n˚10, 15 décembre 1904, p. 429-430.
LICHTENBERGER Henri, « A. Kalthoff. - Zarathustra-Predigten. Reden über die sittliche Lebensauffassung F. Nietzsches », {Littérature allemande}, in Revue universitaire, tome II, n˚10, 15 décembre 1904, p. 430-431. [10]
LICHTENBERGER Henri, « F. Rittelmeyer. - F. Nietzsche und die Religion. Vier Vorträge », {Littérature allemande}, in Revue universitaire, tome II, n˚10, 15 décembre 1904, p. 430-431. [11]
LICHTENBERGER Henri, « Rudolf Willy. - Friedrich Nietzsche. Eine Gesammtschilderung », {Littérature allemande}, in Revue universitaire, tome II, n˚10, 15 décembre 1904, p. 431-432. [12]
LICHTENBERGER Henri, « J. -J. Hollitscher. - Friedrich Nietzsche. Darstellung und Kritik », {Littérature allemande}, in Revue universitaire, tome II, n˚10, 15 décembre 1904, p. 432-433. [13]
C. P., {Bibliographie}, in Progrès Médical, série 3, tome 20, décembre 1904, p. 526.
Compte-rendu du livre du Dr Möbius, Nietzsche (Leipzig, 1904).
PONS Dr., {Journaux anglais}, in Annales médico-psychologiques, n°20, décembre 1904, p. 439-486.Compte-rendu de l’article du docteur W. Ireland, « Frédéric Nietzsche. Etude de pathologie mentale » paru dans le Journal of mental science de janvier 1901. (p. 439-443)
CHARBONNEL J. Roger, « Les deux pôles de la morale contemporaine : la solidarité et l'individualisme de Nietzche », in Annales de philosophie chrétienne, tome III, n˚4, 1904, p. 360-385.
Texte d'une conférence organisée sept mois auparavant « dans une salle de l'Institut catholique, au groupe d'études sociales que préside M. Ackermann, agrégé de philosophie. Cette conférence a été suivie d'une intéressante discussion. » (p. 360)
GAULTIER Jules de, « Frédéric Nietzsche. Par delà le Bien et le Mal, prélude d'une philosophie de l'avenir », {Notes et analyses}, in Revue des idées, volume 1, 1904, p. 384-385.
Compte-rendu de la nouvelle version française de Jenseits von Gut und Böse, cette fois entièrement traduite par Henri Albert.
GAULTIER Jules de, « Frédéric Nietzsche. La Volonté de Puissance, essai de transmutation de toutes les valeurs », in Revue des idées 1, 1904, p. 385-387.
HOURTICQ R., « G. Palante. - Combat pour l'individu », {Analyses}, in L'Année sociologique, volume VIII, 1903-1904, p. 188-191. [14]
Présente le livre de Georges Palante comme un « écho des doctrines de Nietzsche » (p. 188) qui défend « les théories immoralistes de Nietzsche » (p. 189), qui confond l'individualisme « avec la théorie purement anarchiste et égoïste de Nietzsche. » (p. 190)
LICHTENBERGER Henri, « A. Drews. Nietzsches Philosophie », in Revue Critique, tome 57, volume I, 1904, p. 55-58. [15]
LICHTENBERGER Henri, « O. Ewald. Nietzsches Lehre in ihren Grundbegriffen », in Revue Critique, tome 57, volume I, 1904, p. 97-99. [16]
MOREL Jean, « Les origines de la tragédie selon Nietzsche », in L'Ermitage, tome 1, volume 29, 1904, p. 124-129.
ROURE Lucien, « De Nietzsche et de M. Faguet », in Etudes, tome IV, 101, 1904, p. 244-251.
A propos du livre d'Emile Faguet, En lisant Nietzsche.
A. R., {Les livres}, in Revue universelle, tome IV, n°106, 1904, p. 154.
Compte-rendu d'Alfred Fouillée, Nietzsche et l'immoralisme.
THOMAS W., "Les maîtres de la pensée contemporaine", {Littérature et Beaux-Arts}, in Revue universelle, t. IV, n°107, 1904, p. 177-180.
Compte-rendu du livre de Jean Bourdeau. Avec un portrait de Nietzsche.