Bibliographie inédite des publications sur Nietzsche 1868-1940 (Laure Verbaere et Donato Longo)
1919-1940: BIBLIOGRAPHIE ET COMMENTAIRES DE DONATO LONGO
Anonyme, "Nietzsches Klage der Ariadne, par K. Reinhardt", in Revue de métaphysique et de morale, supplément de janvier 1937, p. 20.
BATAILLE Georges, "Réparation à Nietzsche: Nietzsche et les fascistes", in Acéphale, n°2, janvier 1937, p. 3-13.
BATAILLE Georges, "Héraclite", in Acéphale, n°2, janvier 1937, p. 14.
Présentation du texte de Nietzsche.
KLOSSOWSKI Pierre, "Nietzsche, par Karl Jaspers", in Acéphale, n°2, janvier 1937, p. 28.
KLOSSOWSKI Pierre, "Création du monde", in Acéphale, n°2, janvier 1937, p.
25-27.
KLOSSOWSKI Pierre, "Nietzsches Philosophie der ewigen Wiederkunft des Gleichen, par K. Löwith", in Acéphale, n°2, janvier 1937, p. 29-32.
ROLLIN Jean, "Réalisation de l'homme", in Acéphale, n°2, janvier 1937, p. 24.
WAHL Jean, "Nietzsche et la mort de dieu", in Acéphale, n°2, janvier 1937, p. 22-23.
PARAF Pierre, "De Nietzsche à Hitler", in La République, 2 janvier 1937, p. 3. [L.V.]
A propos du livre de M. -P. Nicolas, De Nietzsche à Hitler.
BLONDEL Georges, "M. P. Nicolas. — De Nietzsche à Hitler", in Revue internationale de l'enseignement, 1er janvier 1937, p. 246-247. [L.V.]
Commence par résumer: "L'auteur de ce livre très suggestif a analysé les doctrines d un philosophe qui a eu beaucoup d’influence sur la jeunesse, et ne croit pas que Nietzsche ait inspiré Adolf Hitler autant qu’on l'a prétendu, il n'a pas été un apôtre du nationalisme outrancier qui enthousiasme aujourd’hui la jeunesse allemande, et Mein Kampf n'est pas, comme on l’a dit, une suite de l'œuvre de Nietzsche. Nietzsche a eu lui-même le sentiment qu’on lui supposait des idées contraires à ses idées véritables. M. Nicolas s’efforce de prouver qu'il n'a pas été « le pionnier » de l’Hitlérisme; mais il faut avouer qu’il est parfois si obscur, que sa propre sœur s’imagine écrivant à Hitler qu'elle voit en lui l'incarnation du Surhomme annoncé par Zarathoustra. M. J. Benda de son côté déclare que Nietzsche est un de ces « clercs » qui « ont trahi ». Comme Nietzsche est mort fou, beaucoup se bornent à dire que toute son œuvre est l’œuvre d'un fou." (p. 246)
Conclut: "L’effort que M. Nicolas a fait pour nous aider à mieux comprendre Nietzsche (qui reconnaissait lui-même qu’il était obscur) est digne d’approbation. Nietzsche a déploré en 1870 la victoire allemande. S’il vivait aujourd'hui, il ne pourrait approuver ce Mein Kampf où il est dit que c’est le glaive qui « dominera la terre ». M. Nicolas estime qu’on a été injuste en rendant Nietzsche responsable du dernier conflit européen. Il a été, d’après lui, « le plus francophile des penseurs d’Outre-Rhin »." (p. 247)
FERDY Camille, "A l'opposé", in Le Petit provençal, 12 janvier 1937, p. 2. [L.V.]
A propos du livre de M. -P. Nicolas, De Nietzsche à Hitler. Approuve l'auteur: "M. Adolf Hitler s’obstine à se réclamer de Frédéric Nietzsche et tous les doctrinaires du nazisme font comme lui.
Or, comme nous l’avons souvent prouvé ici même, une telle prétention est aussi absurde qu'impudente. Dans l’ordre spirituel comme dans l’ordre moral, le nietzschéisme contredit et condamne le nazisme sur tous les points essentiels. C’est là une vérité dont M. M.-P. Nicolas, dans le volume qu’il publie chez Fasquelle, « De Nietzsche à Hitler », achève de faire la démonstration."
Conclut: "Nietzsche, qui ne se plaignait pas seulement de l'incompréhension de ses contemporains mais qui redoutait davantage encore les trahisons futures, disait un jour frémir en songeant à tous ceux qui plus tard se réclameraient de ses idées: ne semblait-il pas prévoir M. Hitler et les hitlériens?"
Anonyme, "Nietzsche compositeur", in Je suis partout, 16 janvier 1937, p. 6.
VERMEIL Edmond, "De Nietzsche à Hitler, par M.P. Nicolas", in Les Nouvelles littéraires, 16 janvier 1937, p. 5.
LE MESSAGER Henri, "M.-P. NICOLAS : De Nietzsche à Hitler", {La vie des livres}, in L'Echo d'Alger, 21 janvier 1937, p. 4. [L.V.]
A propos du livre de M. -P. Nicolas. Commence: "Est-il exact, est-il vrai, comme le prétendent bruyamment les Hitlériens, et assez sottement, assez imprudemment certains de nos écrivains, M. Julien Benda, M. André Suarès, M. Léon Daudet, entre autres, que Nietzsche soit le précurseur, le prophète du mouvement national-socialiste?
La question est d'importance. D'abord, parce que la propagande naziste s'entend à tout altérer, à tout fausser, à tout utiliser. En outre, parce que Nietzsche est, de tous les grands écrivains allemands, celui qui, mieux même que Goethe et que Schopenhauer, a compris notre nation, a compris et aimé notre génie et notre culture."
Examine la question.
MAXENCE Jean-Pierre, "De Nietzsche à Hitler, par M.P. Nicolas", in Gringoire, 22 janvier 1937, p. 4.
BLOCH Jean-Richard, "Le "Zarathoustra" de R. Strauss", in Marianne, 27 janvier 1937, p. 5.
ULMANN A., "Combat avec le démon, par S. Zweig", in Vendredi, 29 janvier 1937, p. 7.
Anonyme, {Histoire}, in Jardin des lettres, 1er février 1937, p. 6. [L.V.]
Compte-rendu de M. -P. Nicolas, De Nietzsche à Hitler. Note que c'est "un livre d’une brûlante actualité". Précise: "L’auteur a voulu régler enfin leur compte aux déformations intéressées qui sont aujourd’hui infligées outre-Rhin à la doctrine de Nietzsche et opposer à ces prétentions de tendance politique le véritable enseignement du grand philosophe. Mais les idées que M. P. NlCOLAS soutient ici, la thèse qu'il défend et fait triompher, il leur donne comme appuis et comme garants, en irréfutable témoignage, les textes mêmes de Nietzsche. Il n’avance rien qu’il ne le confirme par une citation prise dans ses œuvres ou dans cette correspondance à laquelle Nietzsche lui-même attribuait une si grande importance. De cette confrontation entre ce que l’on fait dire aujourd’hui au grand penseur et ce que celui-ci a dit, il éclate avec évidence que nietzschéisme et racisme hitlérien n’ont aucun lien commun, bien plus que l’anti-christianisme, disons plutôt, le néo-paganisme nazi est à l’opposé du surchristianisme nietzschéen. Métamorphoser pour les besoins de la cause politique, intérieure ou extérieure, l’auteur de La Volonté de Puissance en « nationaliste » est un acte, tout uniment, de mauvaise foi qui a l’exacte valeur d’un « argument électoral »."
Anonyme, "L'éloge de Nice par Nietzsche", in La Gazette de Nice, 9 février 1937.
Anonyme, "Une amie de Nietzsche", in Je suis partout, 27 février 1937, p. 5.
SEMENOFF Marc, "De Nietzsche à Hitler, par M.P. Nicolas", in Vendredi, 26 mars 1937, p. 7.
SAGAVE P.P., "Nietzsche, par K. Jaspers", in Bulletin de la société philosophique du Sud-Est, avril 1937, p. 56-58.
ETIEMBLE René, "Acéphale (janvier 1937)", in Nouvelle Revue française, 1er avril 1937, p. 634-635.
Anonyme, "Nietzsche cède la place à un Général", in Je suis partout, 3 avril 1937, p. 9.
BOYER Jean, "Pauvre Nietzsche", in Dépêche de Toulouse, 3 avril 1937, p. 1. [L.V.]
Note: "Il a toujours été à plaindre. D'abord pour avoir été incompris. Puis pour avoir fini lamentablement, dans la plus effrayante déchéance mentale. Et depuis, pour avoir été rendu responsable de théories ou d'actes n'ayant parfois que de très lointains rapports avec sa pensée.
La faute en est peut-être, pour une part, aux titres fracassants de certaines de ses œuvres: Par-delà le Bien et le Mal, par exemple, ou La Volonté de Puissance. Il faut dire aussi que sa situation morale est bien particulière à l'égard de ceux qui veulent chercher chez lui la justification de théories qu'ils approuvent ou abominent.
On peut trouver, chez un auteur qui a beaucoup écrit, l'expression d'idées extrêmement variées et parfois contradictoires. Que ne trouve-t-on pas dans Hugo ou dans Voltaire! Nietzsche ne fait pas exception à la règle. Il est même plus facile de se fournir chez lui de citations variées que chez un autre, car, esprit rigoureux entre tous et entre tous intransigeant, il a cherché douloureusement, sans le trouver, un système définitif et a, à plusieurs reprises, démoli ce qu'il avait déjà à moitié construit. Mais ce qu'on ne trouvera jamais, dans aucun de ses écrits, c'est une pensée basse.
On l'a donc rendu responsable de l'hitlérisme (...)"
Discute les "points de contact" et les divergences en résumant le livre de M. -P. Nicolas, De Nietzsche à Hitler.
Conclut: "Voilà, très résumées, et par conséquent bien imparfaitement présentées, les principales idées qu'agite ce petit livre, sans doute destiné à faire quelque bruit dans le monde des « clercs ». Lesquels ont trahi? Une discussion serrée doit nous l'apprendre. Qu'on ne dise pas que la question est d'importance secondaire. Elle touche, au contraire, à la base morale même de notre état social. (...)
La parole est maintenant aux clercs que M. Nicolas accuse nettement de trahison."
LOUIS-PICARD L., "Nietzsche précurseur de Hitler", in Le Droit de vivre, 11 avril 1937, p. 2. [L.V.]
Nul n’est prophète en son pays. La plupart des grands hommes en savent quelque chose, et cet adage s’applique plus tragiquement encore au philosophe Nietzsche, dont les compatriotes « qui ont sur la conscience tous les grands cataclysmes de la civilisation », entourèrent, durant sa vie, sa pensée du plus profond mépris.
Ce furent les études d’Henry Lichtenberger et celles de Charles Andler qui contribuèrent le plus à Introduire en France cette philosophie à la fois dynamique et pessimiste (héritage de Schopenhauer) et il appartint à Emile Faguet de la vulgariser.
L’incompréhension devait poursuivre Nietzsche jusqu'après la tombe, puisque d'éminents esprits comme Julien Benda surtout et André Suarès, ne craignent pas d'affirmer que la philosophie de Nietzsche est directement responsable du national-socialisme et qu'Hitler n'est autre que le type incarné de son « surhomme ».
Courageusement, dans son livre intitulé De Nietzsche à Hitler (Ed. Fasquelle), l'érudit M. P. Nicolas, s'efforce de remettre les choses en place et de rendre au philosophe son vrai visage. Il le fait à l'aide de documents aussi nombreux que choisis et l'intérêt de son ouvrage ne se ralentit pas un instant.
Il est, en effet, hallucinant, de penser que le nain Adolph se targue d'être l'héritier direct d'un Nietzsche à la fois antichrétien et antisémite! Hallucinant aussi, de songer qu'un intellectuel aussi averti que Julien Benda (voir La Trahison des Clercs) ose l'assimiler à Sorel et Maurras, à Barrès, et, pour couronner le tout, au fou roehmantique de Nuremberg! Comme si le patriotisme politique de Barrès, le nationalisme intégral de l'Action française, et le chauvinisme hystérique du maçon en chemise brune, pouvaient être comparés, même de loin, à la pensée de Zarathoustra! (...)"
ABERDAM Simon, "Nietzsche et le IIIe Reich", in Mercure de France, tome 275, 15 avril 1937, p. 225-252.
Anonyme, "Nietzsche et la mystique raciste", in Nouvelles littéraires, 24 avril 1937, p. 6.
A propos de l'article de Simon Aberdam dans le Mercure de France.
HALEVY Daniel, "Nietzsche et la crise de l'esprit contemporain", in Bulletin de l'Union pour la vérité, avril-mai 1937, p. 323-327.
LANDSBERG Paul, "Acéphale (janvier 1937)", {Revue des revues}, in Esprit, mai 1937, p. 296-297.
ROUGEMONT Denis de, "Retour de Nietzsche", in Esprit, mai 1937, p. 313-315.
VERMEIL Edmond, "Nietzsche et la crise de l'esprit contemporain",
in Bulletin de l'union pour la vérité, avril-mai 1937, p. 313-323.
WAHL Jean, "Nietzsches Philosophie der ewigen Wiederkunft des Gleichen, par K. Löwith", in Nouvelle Revue française, 1er mai 1937, p. 791-793.
BERTELE René, "De Nietzsche à Unamuno", {A travers les revues}, in Europe, tome 44, n°173, 15 mai 1937, p. 132-135.
PITROU Robert, "Autour de Wagner", in Revue des cours et conférences, n°12, 30 mai 1937, p. 289-305.
SPENLE Jean-Edouard, "Nietzsche médiateur spirituel entre la
France et l'Allemagne", in Mercure de France, t. 276, 1er juin 1937, p. 275-301.
FERDY Camille, "Niké", in Le Petit provençal, 4 juin 1937, p. 2. [L.V.]
"Dans les nombreux articles qu'à diverses dates nous avons eu l’occasion d'écrire sur Frédéric Nietzsche, le célèbre philosophe allemand dont les œuvres restent toujours d'actualité et prêtent toujours à discussion trente-sept ans après la mort de leur auteur, nous avons prouvé avec des textes tout à fait édifiants que le génie nietzschéen s’était en quelque sorte révélé à lui-même et avait trouvé à s’épanouir magnifiquement sur nos rives méditerranéennes, plus particulièrement dans les Alpes Maritimes: à Nice, capitale de la Côte d'Azur, et sur les hauteurs du village d'Eze."
Signale l'article de Jean-Eoudard Spenlé sur Nietzsche à Nice dans le Mercure de France.
ANIANTE A., "Les Origines de la tragédie", in La Flèche, 5 juin 1937, p. 2.
BIANQUIS Geneviève, "Une autobiographie inédite de Nietzsche", in Revue philosophique de la France et de l'étranger, tome 123, janvier-juin 1937, p. 5-9.
Anonyme, "Nietzsche, par Karl Jaspers", in Revue de métaphysique et de morale, supplément de juillet 1937, p. 9-10.
BATAILLE Georges, "Chronique nietzschéenne", in
Acéphale, n°3/4, juillet 1937, p. 15-23.
CAILLOIS Roger, "Les vertus dionysiaques", in Acéphale, n°3/4, juillet 1937, p. 24-25.
KLOSSOWSKI Pierre, "Don Juan selon Kierkegaard", in Acéphale, n°3/4, juillet 1937, p. 27-32.
MONNEROT Jules, "Dionysos philosophe", in Acéphale, n°3/4, juillet 1937, p. 9-14.
SPENLE Jean-Edouard, "M. P. Nicolas: De Nietzsche à Hitler", in Mercure de France, t. 277, 1er août 1937, p. 642-644.
FERDY Camille, "L'édifice", in Le Petit provençal, 11 août 1937, p. 2. [L.V.]
Signale et commente la publication d'Ainsi parlait Zarathoustra et de La Volonté de puissance aux éditions de la Nouvelle Revue Française, dans la traduction de Geneviève Bianquis. Souligne l'importance des deux.
CHARNY M., "Le combat avec le démon, par Stefan Zweig", in La Lumière, 3 septembre 1937, p. 6.
DRIEU LA ROCHELLE Pierre, "La poésie au-dessus de tout", in Je suis partout, 3 septembre 1937, p. 8.
BASTIER Paul, "Nietzsche « l'homme préhitlérien »?", in Science, octobre 1937. [L.V.]
Article cité d'après le compte-rendu de Gaston Picard dans le Mercure de France.
A propos du livre de M. -P. Nicolas, De Nietzsche à Hitler.
Anonyme, "Nietzsche et le National-socialisme", in Je suis partout, 15 octobre 1937, p. 6.
BENDA Julien, "A propos de Nietzsche", in Bulletin de l'Union pour la vérité, octobre-novembre 1937, p. 45-50.
BOLLE Henri, "Nietzsche et l'antisémitisme", in Europe, septembre-décembre 1937, p. 543-546.
TONNELAT Ernest, "Charles Andler philosophe", in Revue philosophique, tome 124, juillet-décembre 1937, p. 59-79.
PICARD Gaston, {Les journaux}, in Mercure de France, 1er décembre 1937, p. 388-393. [L.V.]
Signale et discute un article de Paul Bastier dans Science d'octobre 1937: "Nietzsche « l'homme préhitlérien »?", à propos du livre de M. -P. Nicolas, De Nietzsche à Hitler.
LOISEAU H., "La volonté de puissance, de F. Nietzsche", in Revue de l'enseignement des langues vivantes, t. 53, 1936/1937, p; 360-361.
MARC Alexandre, "Nietzsche, par F. Griese", in Archives de
philosophie, bol. 13, 1937, supplément bibliographique, cahier 1, p. 26-28.
MARC Alexandre, "Das apollonische und Dionysische, par O. Rein", in Archives de philosophie, bol. 13, 1937, supplément bibliographique, cahier 1, p. 26-28.
MARC Alexandre, "Nietzsche, par K. Jaspers", in Archives de philosophie, bol. 13, 1937, supplément bibliographique, cahier 1, p. 26-28.
REGUIER M., "Nietzsche, par E. Bertram", in Archives de philosophie, vol. 13, 1937, supplément bibliographique, cahier 3, p. 92.
WAHL Jean, "Le Nietzsche de Jaspers", in Recherches philosophiques, 1936/1937, p. 346-362.
BATAILLE Georges, "Propositions sur le fascisme et sur la mort de Dieu", in Acéphale, n°2, janvier 1937, p. 17-21.
BIANQUIS Geneviève, "Le personnalisme en Suisse", in Suisse romande, n°3, 1937, p. 128-131. (L. V.)
Référence citée d'après la bibliographie de Florence Bays, “La réception de Nietzsche par un milieu anticonformiste romand dans les années trente”, in Études de lettres, n°3, 2007, p. 147-171.
LEFEBVRE Henri et GUTERMAN Norbert, "Le problème de la conscience", in Europe, 15 juillet 1937, p. 384-405.
BRION Marcel, "Combat avec le démon, par S. Zweig", in Cahiers du Sud, août 1937, p. 452-455.
GIDE André, "Journal", in Nouvelle Revue française,1er décembre 1937, p. 881-894.