Charles Philippe Théodore Andler (né le 11 mars 1866 à Strasbourg; mort le 1er avril 1933 à Malesherbes (Loiret) fut germaniste français et professeur d'allemand au Collège de France et à la Sorbonne. De souche alsacienne, il vécut en France à partir de 1879. Ses racines et son attachement à l’idée d’une Alsace française furent sans doute à l’origine des accusations de germanophobie durant sa carrière. Il adhéra au parti socialiste de Jean Allemane en 1889, et à partir de cette année il n’abandonna jamais ses convictions en faveur d’une « république sociale ». Militant socialiste actif et Dreyfusard pendant l’Affaire, il fit la première traduction française du Manifeste Communiste de Marx et Engels en 1901, et adhéra à la SFIO dès sa fondation en 1905. Il soutient le socialisme de Jaurès dont il fut un proche. En 1926, il devient titulaire de la chaire de langues et littératures d'origine germanique au Collège de France; il occupera ce poste jusqu'à sa mort en 1933. Chez Andler, le socialisme et le nietzschéisme vont main dans la main, et au cours de sa vie Andler a élaboré un « socialisme nietzschéen » cohérent dans ses ouvrages sur Nietzsche, mais aussi dans ses écrits sur le socialisme, notamment dans La civilisations socialiste (Paris, Marcel Rivière, 1912 ; réédité en 2010). - [Don Longo, 2014]
Plusieurs articles de Charles Andler dans les Entretiens politiques et littéraires, sous le pseudonyme de Théodore RANDAL (par exemple: voir article sur Stirner, 1892)
On trouvera des indications intéressantes dans Charles Andler, La philosophie des sciences historiques, 1912.
Pour des recherches, voir le Catalogue en ligne des archives et manuscrits de l'enseignement supérieur
Un projet de recherche sur Charles Andler a démarré au Centre canadien d'études allemandes et européennes dirigé par Martine Béland (2019, Montréal). Il a été abandonné.
ANDLER Charles, "R. Steiner. Nietzsche, ein Kämpfer gegen seine Zeit", in Revue Critique d'Histoire et de Littérature, tome XL, 23 décembre 1895, p. 490.
Compte-rendu sévère : "M. Steiner, écrivain élégant et amateur de fantaisies métaphysiques, se compromet ici, comme jadis sur Goethe, dans une histoire littéraire qui n'est pas son fait. L'œuvre indispensable d'exposer Nietzsche populairement reste à tenter. Le chapitre consacré à décrire l'idéal nietzschéen, l'Uebermensch", l'individu surhumain, est sans doute le meilleur. Le chapitre de tête sur le caractère de Nietzsche est peu documenté et peu dans le sujet.
Le Nietzsche-Archiv de Naumburg a été à la disposition de M. Steiner. On ne voit pas ce qu'il en a tiré. Dans le chapitre final sur l'évolution de Nietzsche, M. Steiner se borne à nous dire que son auteur a ignoré Stirner et qu'il a été le disciple de Schopenhauer jusqu'en 1878. Cela est insuffisant et Nietzsche a lui-même décrit tout autrement sa généalogie intellectuelle. Il faut relire cette "Hadesfahrt" où il évoque les ombres des aïeux : "Ce furent quatre couples qui ne se refusèrent pas à moi, tandis que je sacrifiais : Epicure et Montaigne, Goethe et Spinoza, Platon et Rousseau, Pascal et Schopenhauer" (Menschliches Allzumenschliches, 2e éd. 1894, p. 179).
Et voilà ses maîtres."
ANDLER Charles, « Alfred Fouillée. - Nietzsche et l'immoralisme », in Notes Critiques, tome 82, n˚4, 1903, p. 82-84.
Soutient que l'ouvrage d'Alfred Fouillée n'est qu'une apologie « lourdement inexacte et imbue de préjugés » de Jean-Marie Guyau et condamne sans appel : « Le travail d'érudition que suppose la critique d'une œuvre nuancée et difficile, comme est l’œuvre de Nietzsche, n'est fait nulle part. (...) M. Fouillée n'a pas su lire ce style délicat. Il l'a du reste peu lu. C'est peu qu'il ait négligé les deux premiers systèmes. Il ne connaît pas entier le troisième. » Sur la méthode, Andler est tout aussi sévère : « La méthode critique est l'ancienne méthode verbale et tâtillonne des spiritualistes. » Selon lui : « Le contre-sens atteint son apogée dans l'exposé qui est fait de la « morale des maîtres et de la morale des esclaves. » Il est ordinaire. Il faudra là un travail d'interprétation nouveau. »
ANDLER Charles, « Réponse à M. Fouillée », in Notes Critiques, tome 82, n˚4, 1903, p. 100-102.
Charles Andler n'accepte pas les arguments d'Alfred Fouillée. Il persiste : « Je savais que M. Fouillée est un dialecticien habile. Cependant, il n'arrivera pas à donner le change à ceux qui le liront de près. » (p. 100) Il insiste : « Je ne diffère pas seulement de M. Fouillée dans l'interprétation de Nietzsche. Je dis, et je maintiens, j'ai prouvé brièvement et je pourrais prouver longuement que M. Fouillée n'a pas le droit d'avoir une interprétation. Il y faut plus de lecture et de conscience d'analyse. » (p. 100) Il conclut : « C'est là de la critique « verbale », « tâtillonne » et puérile. » (p. 102)
ANDLER Charles, "Le centenaire de Schiller", in L'Humanité, n°392, 14 mai 1905, p. 2.
Note: ce que la pensée de Schiller "recèle, c'est à la fois la prédiction de la République sociale que nous attendons tous, et les linéaments de la morale surhumaine d'un Nietzsche, que nous utiliserons un jour pour le socialisme."
ANDLER Charles, « Nietzsche et Jacob Burckhardt : Leur philosophie de l'histoire », in Revue de synthèse historique, tome XV-2, n˚44, octobre 1907, p. 121-149.
Remarque d'emblée : « Il faut, quand on parle de l'amitié qui a uni Jacob Burckhardt et Nietzsche, faire un grand effort d'impartialité. Ils ont tous deux des admirateurs qui tenteront d'accaparer pour l'un ou pour l'autre à l'exclusion du rival, le mérite d'une œuvre entreprise par eux en commun. » (p. 121)
Pour sa part, il se situe sur le terrain de l'impartialité en ajoutant aussitôt : « Représentons-nous ce que fut, dans la vie réelle, cette amitié. » (p. 121)
Il existe une traduction allemande de cet article ; cf. Nietzsche et Jacob Burckhardt, mit einer Einführung : Andlers Nietzschewerk von Geneviève Bianquis, Basel-Strassburg, s. d. (Le nom du traducteur n'est pas indiqué. Cf. Ernst Tonnelat, Charles Andler, sa vie et son œuvre, Paris, Société d'édition : les Belles Lettres, 1937, p. 160.
Andler précise que cette étude fait partie d'un ouvrage en préparation sur Frédéric Nietzsche, sa vie et sa pensée.
ANDLER Charles, "Le premier
système de Nietzsche ou la philosophie de l'Illusion", in Revue de métaphysique et de morale, tome 17, n°1, janvier 1909, p. 52-86.
ANDLER Charles, "Nietzsche et Jacob Burckhardt. Leur philosophie de l'histoire (suite et fin)", in Revue de synthèse historique, tome 18, n°53, avril 1909, p. 137-171.
Concernant les relations entre les deux hommes, il commence par remarquer : "C'est une intéressante question, et très débattue, que celle de savoir s'ils ont senti tous les cette solidarité de leur pensée que nous croyons si réelle. Il reste six lettres de Burckhardt à Nietzsche répartie sur douze années ; cinq lettres de Nietzsche à Burckhardt pour un temps à peine plus long. Faut-il les lire avec méfiance? La controverse pendante entre le Nietzsche-Archiv [Elisabeth Förster-Nietzsche] et le représentant de la tradition bâloise, Carl Albrecht Bernouilli, n'a pas d'autre point de départ." (p. 168) Ajoute aussitôt : "Pour être impartial, citons les textes." (p. 168) Cependant, il ajoute une note infrapaginale dans laquelle sa préférence ne fait aucun doute. Il cite le livre de Bernouilli, représentant de la tradition bâloise, puis celui de Richard Oehler, qui représente la tradition weimarienne et ajoute : "Bien entendu, c'est Carl Albrecht Bernouilli qui, pour tout ce qui concerne la vie bâloise de Nietzsche et de Burckhardt, est le mieux informé." (note 4, p. 168)
? ANDLER Charles, Nietzsche, sa vie et sa pensée, 2 vol., Paris, Alcan, 1910 ?
Le Bulletin de l'association amicale des anciens élèves de la faculté des lettres de Paris, daté de 1909, signale sous presse ce livre de Charles Andler.
Dans une lettre à Elisabeth Förster-Nietzsche, Henri Albert écrit le 12 avril 1910: "Sein Buch [Andler] soll in den nächsten Wochen erscheinen. Mehr habe ich nicht erfahren können, obwohl ich die Absicht hatte Ihnen ein genaues Datum anzugeben. Es kann sein, dass er die beschlagnahmten Stillen benützt. Sie können aber versichert sein dass ich Sie darüber gleich nach der Veröffentlichung informiere." (GSA 72/2394)
Dans une lettre à Lucien Herr du 9 août 1910, Charles Andler écrit: "Le 1er volume de Nietzsche lui (Alcan) sera remis à la rentrée. Pour le second volume, j'ai trouvé encore une nouvelle et ravissante source du Retour éternel et de Zarathoustra. Je la soupçonnais; mais je n'avais pu réussir encore à faire le travail." (D'après Antoinette Blum (éd.), Correspondance entre Charles Andler et Lucien Herr 1891-1926, éditée et présentée par Antoinette Blum, avec une préface de Christophe Charle, Paris, Presses de l'Ecole Normale Supérieure, 1992, p. 105)
Dans une lettre à Lucien Herr du 11 septembre 1910, il parle de "1200 feuillets" (Ibid., lettre 34, p. 110) mais toujours au futur et fait encore des modifications.
Le 4 octobre 1910, Lucien Herr écrit à Charles Andler: "J'ai bon espoir que tu auras pu donner enfin à l'imprimerie les parties définitivement rédigées de ton livre. Il faut s'arrêter une fois dans les remaniements (...) (Ibid., lettre 36, p. 113)
Le Bulletin de l'association amicale des anciens élèves de la faculté des lettres de Paris, daté d'octobre 1910, confirme la parution du livre.
Cependant, le catalogue Alcan 1911 ne le mentionne pas. Ce point reste à éclaircir. Tout porte à croire, comme l'écrit Antoinette Blum, que pour "une raison que nous ignorons, le volume [les volumes] ne sortit pas à cette époque." (Ibid., p. 13)
Hypothèse: Charles Andler est convoqué au tribunal de Paris comme témoin dans l'affaire Bernouilli le 5 novembre 1910 (Lettre de Böckel à EFN du 13 octobre 1910: GSA 72/924 b)
Cette implication joue peut-être un rôle dans la non-publication de ses deux volumes sur Nietzsche.
C'est en 1913 que le manuscrit est effectivement remis à Alcan et l'impression, commencée en juin 1914, est interrompue par la guerre. Un premier volume paraîtra en 1920.
ANDLER Charles, "La liberté de l'esprit selon Nietzsche", in Bulletin de l'Union pour la vérité, tome 13, 1910, p. 373-389.
Sera repris dans sa grande biographie de Nietzsche publiée après la guerre.
ANDLER Charles, "La liberté de l'esprit selon Nietzsche (suite)", in Bulletin de l'Union pour la vérité, tome 13, 1910, p. 437-464.
Sera repris dans sa grande biographie de Nietzsche publiée après la guerre.
ANDLER Charles, "Les opinions sociales de Nietzsche, 1876-1882", in Revue du Mois, tome 10, n°59, novembre 1910, p. 513-541.
Sera repris dans sa grande biographie de Nietzsche publiée après la guerre.
ANDLER Charles, "F. Nietzsche. -Ecce Homo, suivi des Poésies", in Revue critique des livres nouveaux, 1910, p. 27-28.
Compte-rendu extrêmement critique de la traduction d'Henri Albert.
ANDLER Charles, « Les études germaniques » in Collectif, La science française, tome 2, Paris, Ministère de l’instruction public et des beaux-arts, 1915, p. 284-310.
L’ouvrage est une compilation de brochures distribuées aux visiteurs de l’Exposition de San Francisco.
La brochure de Charles Andler a été publiée en une plaquette de 36 pages.
Affirme que « le centre véritable des études germaniques en France est dans les universités. On ne veut pas diminuer, en le disant, le mérite des initiatives spontanées qui, dans un pays de libre travail comme la France, ne sauraient cesser d'être intelligemment agissantes. La propagande des théâtres et des revues s'est poursuivie avec un discernement souvent heureux. Richard Wagner a été abondamment traduit et joué. Nietzsche, dans la version de M. Henri Albert, a fini par être lu presque autant qu'en Allemagne. » (p. 300)
Note : « Il n'y a pourtant que trois écrivains allemands qui aient passionné l'opinion française jusque dans les profondeurs des classes cultivées : Heine, Richard Wagner et Nietzsche. » (p. 306).
Andler souligne les mérites des travaux d’Henri Lichtenberger sur Richard Wagner et sur Nietzsche. Il note : « ce germanisant, le plus complètement outillé que la France ait eu, était qualifié, mieux qu'un autre, pour inaugurer, en France, l'étude de Nietzsche. Son petit livre sur la Philosophie de Nietzsche (1898), si modeste de dimensions, a rendu pourtant un service immense. Il a ouvert l'opinion française aux idées du philosophe de la « culture européenne ». Il a arraché aux mains des dilettantes un penseur difficile. Il a établi la base solide sur laquelle les livres de Pierre Lasserre, Jules de Gaultier, Alfred Fouillée, et la charmante biographie de Daniel Halévy ont pu s'édifier. » (p. 307-308)
ANDLER Charles, "Ce qui devra changer en Allemagne", in Foi et Vie, cahier B, n°17-18, 1er et 16 septembre 1917, p. 155-179.
Sténographie d'une conférence prononcée le dimanche 4 mars 1917. Place de Nietzsche après la guerre.
ANDLER Charles, Le pangermanisme philosophique (1800-1914), Paris, Louis Conard, 1917.
2ème édition avec une nouvelle préface dans laquelle Nietzsche revient souvent. Note par exemple: "(...) le seul philosophe de génie qui eut paru en Allemagne depuis 1870, Nietzsche, trahit la cause dont on crut un instant qu'il serait l'avocat. Son humanisme nouveau, qu'il appelait son « bon européanisme », est un dédain supérieur de la meute pangermaniste qui aboyait autour de Richard Wagner."
ANDLER Charles, Ce qui devra changer en Allemagne, Paris, Foi et Vie, 1918.
Référence non confirmée; marque de seconde édition. 64 pages.
ANDLER Charles, Nietzsche, sa vie et sa pensée, tome 1, Les précurseurs de Nietzsche, Paris, Bossard, 1920.
Ibid., 2ème et 3ème édition, 1920
Nietzsche, sa vie et sa pensée, fut l’ouvrage majeur d’Andler, comme Nietzsche fut son grand amour intellectuel au cours de sa vie. Commencé aux alentours de 1900, l’ouvrage reste la plus grande analyse de la pensée nietzschéenne qui ait été écrite jusqu’à notre temps, dans n’importe quelle langue, de par son ampleur et de par son ambition. Six volumes furent publiés entre 1920 et 1931; une nouvelle édition fut publiée chez Gallimard, en trois volumes, en 1979.
Ce premier tome, publié en 1920, met en évidence un « nietzschéisme diffus » qui existait en Europe avant Nietzsche, c’est-à-dire les auteurs qui, de par les idées et leurs ouvrages, ont fécondé le terrain où l’œuvre de Nietzsche pouvait germer. Ce sont les influences directes et indirectes qui sont étudiées, surtout les influences allemandes (Goethe, Kleist, Schopenhauer, etc) et les influences françaises (Montaigne, Pascal, les moralistes du XVIII siècle, Stendhal); mais les influences anglophones (Emerson) ont aussi leur place. Le livre d’Andler met l’accent sur les maîtres français dont « l’enseignement complète bien celui de ses maîtres allemands » (Cf. E. Tonnelat, Charles Andler, sa vie et son œuvre, 1937, p. 215. -[Don Longo, 2014]
ANDLER Charles, Nietzsche, sa vie et sa pensée, tome 2, La jeunesse de Nietzsche, Paris, Bossard, 1921.
Ibid., 2ème édition, 1921.
ANDLER Charles, Nietzsche, sa vie et sa pensée, tome 3, Le pessimisme esthétique de Nietzsche, Paris, Bossard, 1921.
Ibid., 2ème édition, 1921.
ANDLER Charles, Nietzsche, sa vie et sa pensée, tome 5, Nietzsche et le transformisme intellectualiste, Paris, Bossard, 1922.
Ibid., 2ème et 3ème édition, 1922.
ANDLER Charles, "Les idées de Nietzsche sur la guerre", in La Paix par le Droit, février 1924, p. 65-68.
ANDLER Charles, Nietzsche und Burckhardt, Basel, 1926.
ANDLER Charles, "Quelques sources de la philosophie intellectualiste de Nietzsche (1876-1881)", in Revue d'histoire de la philosophie, tome 1, 1927, p. 69-102.
ANDLER Charles, "Nietzsche et ses dernières études sur l'histoire", in Revue de métaphysique et de morale, année 35, n°2, avril 1928, p. 161-191.
ANDLER Charles, "Nietzsche fut-il atteint par "Sigma"?", in Comoedia, 15 juillet 1928, p. 1.
Protestation contre l'article de Paul Voivenel: "Sigma et génie: la maladie de Nietzsche", in Comoedia, 29 juin 1928, p. 5.
Avec une lettre de protestation de Carl Albrecht Bernoulli.
Sera suivi d'une réponse de Paul Voivenel: "Sigma et génie: la maladie de Nietzsche", in Comoedia, 23 juillet 1928, p. 1.
ANDLER Charles, Nietzsche, sa vie et sa pensée, tome 4, La maturité de Nietzsche, Paris, Bossard, 1928.
ANDLER Charles, "Le dernier enseignement de Nietzsche", in Revue de métaphysique et de morale, tome 37, janvier 1930, p. 1-16.
Conclusion du tome 6 de Nietzsche, sa vie et sa pensée.
ANDLER Charles, "Fritz Krokoel, Europas Selbstbesinnung durch Nietzsche", in Revue critique d'histoire et de littérature, tome 97, août 1930, p. 362-367.
ANDLER Charles, "Geneviève Bianquis, Nietzsche en France", in Revue critique d'histoire et de littérature, tome 97, août 1930, p. 362-367.
ANDLER Charles, "E. F. Podach, Nietzsches Zusammenbruch", in Revue critique d'histoire et de littérature, tome 97, août 1930, p. 362-367.
ANDLER Charles, "La morale de Nietzsche dans le Zarathoustra", in Revue d'histoire de la philosophie, tome 4, 1930, p. 129-175.
ANDLER Charles, "Nietzsche et Dostoïevsky", in Mélanges offerts à F. Baldensperger, Paris, Champion, 1930, p. 1-14.
ANDLER Charles, Nietzsche, sa vie et sa pensée, tome 6, La dernière philosophie de Nietzsche, Paris, Bossard, 1931.
Ibid., 2ème édition, 1931.
Voir la dédicace à Henri Bergson
ANDLER Charles, "Frédéric Nietzsche", in Les Cahiers de Radio-Paris, n°6, 15 juin 1932 , p. 565-572. (L.V.)
Texte d'une conférence donnée dans l'auditorium de la Compagnie française de radiophonie, dans le cadre d'un cycle de conférences sur la littérature allemande, prononcée le 11 mai 1932 à Radio-Paris, à 19h.
LEFEVRE Frédéric, "Une heure avec Charles Andler, historien de Nietzsche", in Les Nouvelles littéraires, 12 novembre 1932, p. 1-8.
ANDLER Charles, "Nietzsche", in Encyclopaedia of the Social Sciences, New York, Macmillan, 1937, tome XI, p. 373-375.