Henri Lasvignes fait partie des premiers traducteurs de Nietzsche en français (voir Traductions 1892-1897). Il a écrit à la sœur de Nietzsche pour avoir l'autorisation (voir Traces inédites). C'est le traducteur de Max Stirner: L'Unique et sa propriété parait en 1900 aux éditions de La Revue Blanche (avec une longue préface).
LASVIGNES Henri, "Un livre sur Nietzsche", {Les lettres allemandes}, in Revue Blanche, tome 14, n˚107, 15 novembre 1897, p. 309-316. A RECTIFIER
Compte-rendu de Aloys Riehl, Fr. Nietzsche, der Künstler und der Denker, 1897.
LASVIGNES Henri, "Lettre ouverte à M. André Gide", in Revue Blanche, tome 21, n˚162, 1er mars 1900, p. 398-400.
Réaction à la "Lettre à Angèle" que Gide a consacrée à Stirner. Lasvigne déclare et explique pourquoi, en accord sur ce point avec Gide, il "repousse toute tentative d'assimilation de Stirner à Nietzsche" (p. 399).