Ecrivain français, Louis Thomas est un collaborateur de la Revue critique des idées et des livres de Jean Rivain et Eugène Marsan.
Pendant l'Occupation, c'est un collaborateur zélé. En octobre 1949, il est condamné pour faits de collaboration avec l'ennemi aux travaux forcés à perpétuité, à la dégradation nationale à vie et à la confiscation de tous ses biens.
THOMAS Louis, {Les littératures du Nord}, in La Chronique, 6ème année, n°1, février 1905, p. 20-29.
Contient trois articles sur Nietzsche: "Les Allemands et la civilisation", compte-rendu de l'article d'Henri Albert dans la Renaissance latine; "L’œuvre de Nietzsche" et "Un disciple de Nietzsche".
THOMAS Louis, "Les Aînés. L’œuvre de Hugues Rebell", in La Plume, n˚375, 1er juillet 1905, p. 647-653.
Etudie, p. 648-650, les relations entre Nietzsche et Hugues Rebell en distinguant tout d'abord les œuvres de jeunesse "car l'influence de Nietzsche a été un fait d'une grande importance dans l'évolution de ses idées." (p. 647)
THOMAS Louis, "Jules de Gaultier", in La Phalange, n°29, 15 novembre 1908, p. 425-429.
Décrit Jules de Gaultier comme un disciple de Nietzsche qui "va plus loin que son maître, et se distingue de lui par des qualités toutes personnelles, le goût de l'ordre constructeur et une sagesse qui lui permettent d'ignorer cette fureur combative dont Nietzsche fut toujours animé." (p. 425) Analyse les ouvrages de Jules de Gaultier, De Kant à Nietzsche (p. 426-427), et Nietzsche et la Réforme philosophique (p. 428-429).
THOMAS Louis, "Ce que nous devons à Nietzsche", in Le Divan, octobre 1911, p. 239-242.