Paul Flat est un collaborateur régulier de la Revue bleue. De 1894 à 1900, il est chargé de la critique d'art; de 1900 à 1905, il s'occupe de la critique dramatique. Il est secrétaire général de la revue de 1903 à 1905. Il a publié des volumes d'histoire de l'art et des études littéraires et politiques.

FLAT Paul, {Théâtre}, in Revue bleue, tome 9, n°11, 14 mars 1908, p. 348-350.

Compte-rendu d'une pièce d'Henri Bataille, La Femme Nue. Se demandant ce qu'Henri Bataille a voulu montrer, pense que c'est une question qu'il faut se poser car il faut "s'en tenir à l'ingénieuse doctrine soutenue par Nietzsche du Pouvoir de l'art, opposée à celle de l'art pour l'art." A ce sujet, cite quelques lignes de Nietzsche qu'il approuve totalement (p. 349).

FLAT Paul, {Théâtres}, in Revue bleue, tome 9, n°22, 30 mai 1908, p. 700-702.

A propos de Snegourotchka, pense que la musique étonnera car le goût musical a subi vingt années de "wagnérisme aigu" et cite Nietzsche pour illustrer "l'action propre des vrais novateurs." (p. 701)

FLAT Paul, ""Soyons durs"", in Revue bleue, 53, n°9, 27 avril-1er mai 1915, p. 130-132.

FLAT Paul, "Les derniers Français à mentalité allemande", in Revue bleue, 53, n°12, 12-19 juin 1915, p. 250-252.

Contre les Français épris du scientisme allemand, cite Nietzsche (p. 251).

FLAT Paul, "Quelques directions morales issues de la guerre. Le mirage de l'étranger", in Revue bleue, 53, n°22, 13-20 novembre 1915, p. 560-563.

A propos du sort qu'il faut réserver à Wagner, invoque Nietzsche (p. 561).