Les notes de recherche

"Un correspondant occasionnel, que j'ai quelques [...] raisonnables de croire peu recommandable, m'écrivait un jour que s'il était devenu ce qu'il était, c'était pour avoir lu "Par-delà le Bien et le Mal". Peut-être n'avait-il lu que le titre. En tout cas, si des coquins ou des coquines sont devenus ce qu'ils sont après avoir lu Nietzsche, c'est sans doute qu'ils avaient des aptitudes à le devenir et j'estime qu'ils n'ont pas le droit d'en faire porter la faute à Nietzsche.

Il y a une immoralisme nietzscheen et un immoralisme vulgaire et ils sont entre eux presque dans le même rapport que le feu et l'eau impure."